jeudi 23 décembre 2021

FRANCESSION : Grand Merci à Alain BAUMANN

Une cérémonie pleine d'émotions s'est tenue à Paris chez CYRUS CONSEIL en l'honneur d'Alain BAUMANN qui a cédé la présidence de FRANCESSION à Hervé de MONES.   

Sur la photo à gauche, Alain BAUMANN, sur la photo à droite, Hervé DE MONES

Associé gérant du cabinet CESSIO FINANCE à Paris et ancien dirigeant d'une division du groupe PSA Peugeot Citroën, Alain a fondé le réseau FRANCESSION en 2008. Il s'est investi pendant une douzaine d'années en qualité de Président et animateur du réseau avec beaucoup d’énergie et savoir-faire, le sens de l'intérêt collectif, un esprit toujours bienveillant et constructif. Alain est à la base de l'ADN de FRANCESSION : réussir les missions qui nous sont confiées, agir pour le développement et la pérennité des entreprises, être exemplaire dans notre activité. Comptant seize cabinets de fusions acquisitions répartis sur toute la France, FRANCESSION est aujourd'hui un acteur incontournable de la transmission des PME.  

Une nouvelle animation consensuelle du réseau FRANCESSION est mise en place avec un comité directeur, constitué de cinq membres, présidé par Hervé de MONES. Hervé est Associé gérant de la COMPAGNIE FINANCIERE DU BUIS. Il a été Professeur Associé à la chaire de Finances du CNAM et il est aujourd'hui  Chargé d'Enseignement en analyse financière et évaluation d'entreprise en Master 1 et Master 2 à l'Université Paris Dauphine. 

Le Président de FRANCESSION indique " malgré les incertitudes du contexte sanitaire, nous sommes confiants pour 2022, forts de notre expérience, de notre ancrage local et de l'efficacité de notre travail en réseau ". 

dimanche 7 novembre 2021

Menuiserie d’agencement - FRANCESSION conseille la transmission de la société EMAG en Lorraine à M. Jean-Michel DELEPLACE

Jean-Yves LESTRADE (FRANCESSION) a conseillé avec succès la transmission de la société EMAG en Lorraine. L’entreprise exerce une activité de menuiserie d’agencement de restaurants et magasins : rénovation intérieure, décoration murale, pose de cloisons et mobilier. Elle intervient dans un périmètre géographique comprenant principalement les régions du Nord Est, l’Ile de France et la Bourgogne Franche Comté.


La société EMAG est une entreprise très appréciée pour son sérieux et savoir-faire dans les travaux de menuiserie d’agencement. Elle était dirigée depuis 2006 par M. Emmanuel MARZOC qui l’a créée après une expérience de Chargé d’Affaires dans une menuiserie bois spécialisée dans l’agencement de magasins. 

Le repreneur

Le repreneur de la société EMAG est M. Jean-Michel DELEPLACE qui dirige depuis 2008 une société indépendante d’études techniques et maîtrise d’œuvre de construction. Jean-Michel a pour objectif de renforcer l’équipe de production d’EMAG et diversifier la clientèle auprès de chaînes de magasins et de restauration. La transmission de la société se réalise avec tout le soutien et l’accompagnement de M. Emmanuel MARZOC.  

Conseils Acquéreur 

  • Conseil juridique : Jérémy GENY-LA ROCCA et Delphine SAUSSARD du cabinet SCP DUMUR MAAS GENY LA ROCCA à Metz (57)
  • Expert-comptable : Frédéric TRITZ du cabinet FRANIATTE à Metz (57)
  • Financement de l’opération : BANQUE POPULAIRE ALSACE LORRAINE CHAMPAGNE, BPI

Conseils Cédant

  • Conseil juridique : Frederic FERRY du cabinet JURI’ACT à Nancy (54)
  • Expert-comptable : David FEDELI du cabinet F2M à Homecourt (54)
  • Conseil en cession : Jean-Yves LESTRADE à Metz (57)



vendredi 15 octobre 2021

FRANCESSION conseille la transmission de la société PECHEUR INDUSTRIES au groupe POREL INGENIERIE

Notre cabinet (FRANCESSION) a conseillé avec succès la transmission de la société PECHEUR INDUSTRIES à Vitry-le-François dans la Marne. L’entreprise exerce une activité d’usinage de précision pour des domaines industriels tels que l’hydraulique, les machines agricoles, le ferroviaire, les machines de travaux publics, le maritime, les énergies renouvelables et autres.


PECHEUR INDUSTRIES intervient aussi dans la fabrication sous forme de prototypage de pièces complexes en petites séries. L’entreprise est équipée d’un parc machines de pointe avec une vingtaine de centres d’usinage à commande numérique, tours à commande numérique, machines multifonctions.


Créée il y a 42 ans par M. Jean-Marie PECHEUR avec son associé M. LESAGE, la société était dirigée depuis 2010 par M. Vincent PECHEUR, 39 ans, après un parcours professionnel dans l’entreprise familiale comme responsable de production, technico-commercial et tourneur.  




L’acquéreur : le groupe POREL INGENIERIE (HYDRO LEDUC)

François Porel, Vincent Pecheur,
Philippe Porel
Le repreneur de l’entreprise est le groupe POREL INGENIERIE. Avec la société HYDRO LEDUC S.A.S. basée à Azerailles en Meurthe et Moselle, il occupe une position de leader français de l’hydraulique haute pression appliquée à tous les équipements mobiles (poids lourds, travaux publics, agricole, aéronautique) et réalise 70 % de son CA à l’exportation dans 65 pays.


Bénéficiant d’un contexte économique post-covid en fort développement dans divers secteurs industriels, cette opération de croissance externe du groupe POREL INGENIERIE permet de renforcer ses moyens en personnel (opérateurs commande numérique, tourneurs-fraiseurs…), parc de machines-outils et surface de production. Elle assure la pérennité et le développement des activités de la société PECHEUR INDUSTRIES, rebaptisée P2I, entreprise de référence dans l’usinage de précision en Champagne Ardenne.

Conseils

Conseil juridique acquéreur : Philippe GEGOUT du cabinet FIDAL à Villers-les-Nancy (54)

Conseil juridique cédant : Hervé ANTOINE du cabinet SJFC à Châlons-en-Champagne (51) 

Conseil en cession cédant : Jean-Yves LESTRADE de FRANCESSION à Metz (57)

Entreprises

Site internet de la société HYDRO LEDUC 

Vidéo de présentation de la société PECHEUR INDUSTRIES sur You Tube


 

vendredi 8 octobre 2021

Marketing digital de FRANCESSION sur la plateforme FUSACQ

Le réseau FRANCESSION, qui fédère 15 cabinets de fusions acquisitions d'entreprises, a réussi depuis sa création plus de 500 opérations de cessions d'entreprises, acquisitions d'entreprises et levées de fonds. FRANCESSION a en permanence un portefeuille de plus de 100 mandats concernant des entreprises dans tous les secteurs d'activités.  

Les abonnés aux Newsletters de FUSACQ (plateforme de marché dédiée aux fusions acquisitions d'entreprises), peuvent découvrir actuellement la campagne de marketing numérique de FRANCESSION. Il y a plusieurs bannières différentes dont une avec les visages des 18 Experts du réseau. 

Les newsletters quotidiennes FUSACQ sont envoyées à environ 23 000 destinataires et FUSACQ BUZZ à 19 000 destinataires. FRANCESSION est ravi aussi, pour l'occasion, de présenter son nouveau logo.


Site internet : FRANCESSION 


dimanche 19 septembre 2021

Transmission de la société EST MATERIAUX en Moselle (distribution de matériaux de construction et béton prêt à l'emploi)

Notre cabinet a conseillé avec succès la transmission de la société EST MATERIAUX en Moselle. Fondée en 1957 par M. Germain NISI, cette entreprise était dirigée depuis trois décennies par son fils, Marcel NISI et son épouse Dominique, qui prennent leur retraite.

L’entreprise exploite à Diffembach-lès-Hellimer un site de près de 3 000 m² de superficie avec magasin libre-service, espaces d’exposition, bureaux, dépôt, atelier et une centrale à béton.

La société EST MATERIAUX se classe parmi les acteurs majeurs de la distribution de matériaux de construction et béton prêt à l’emploi dans le centre mosellan. Elle est adhérente depuis 1988 au groupement TOUT FAIRE MATERIAUX (CA de 1,5 milliard avec 450 points de vente en France et en Belgique).

Le repreneur

Le repreneur de la société EST MATERIAUX est M. Hervé de NORAY qui anime, avec une équipe de cadres dirigeants, un groupe familial en forte croissance dans la distribution de matériaux de construction ainsi que les activités d’ouvrages d’art, génie civil et travaux industriels en béton.

Conseils Acquéreur 

  • Conseil juridique : Claire REMY-RAMBOURG de FILOR AVOCATS à Nancy (54)
  • Expert-comptable : David LADAME de EXPERNEO à Nancy (54)
  • Notaire :  Arnaud GENIN à Nomeny (54)
  • Financement de l'opération : CREDIT AGRICOLE, CREDIT MUTUEL, BPI

Conseils Cédant

  • Conseil juridique : Arnaud VEZY de FIBA à Schiltigheim (67)
  • Expert-comptable : Eric ESTREICH-BOUSSER à Forbach (57)
  • Conseil en cession : Jean-Yves LESTRADE à Metz (57) Associé de FRANCESSION


mercredi 8 septembre 2021

Transmission d'entreprise : six observations de bons sens sur le bilan

Vous voulez vendre votre entreprise ou vous êtes en veille d’une opportunité de cession. Le bilan de votre société est un élément moteur pour la faisabilité de cette opération et pour l’optimisation de la valorisation de la société. Dans votre réflexion et de préparation, prenez en compte certaines remarques et observations du vécu.  

Gérer et placer la trésorerie  

Le repreneur cherche à mesurer les liquidités de l’entreprise qui sont réellement disponibles et dont il pourrait se passer. Le cédant doit avoir à cœur de faire fructifier les disponibilités de sa société. Si la trésorerie excédentaire n’est pas placée, cela laisse entendre que l’entreprise la mobilise pour son fonctionnement courant et donc qu’elle ne peut pas être prise en compte dans l’équation financière de la valorisation. Une société se pilote d’abord par sa trésorerie, pour André SIGONNEY. Les banques  établissent des suivis journaliers, hebdomadaires ou mensuels de la trésorerie de leur client, ce qui permet pour un observateur extérieur de juger du niveau de trésorerie nécessaire et de l’utilisation des autorisations bancaires. Pour Hervé LEFEUVRE, dans tous les cas, il faut préalablement à la cession optimiser la sortie de trésorerie excédentaire. Les acquéreurs ne sont pas intéressés par la trésorerie mais par l’outil de travail, de production, de négoce de l’entreprise.

Transparence sur la rémunération du dirigeant  
Vous n’y échapperez pas. Le niveau du coût salarial du cédant (salaire, charges sociales, voiture, frais professionnels, salaire et fonction du conjoint…) est à la base du calcul de retraitement du résultat. Il est décortiqué pour mesurer les marges disponibles par rapport à une rémunération dite « standard » de dirigeant. Un salaire en-dessous de la moyenne impacte sans discussion possible le calcul de la « rentabilité normative » de l’entreprise à céder et donc sa valeur finançable et de marché.

Distribuer régulièrement les résultats

Il n’est pas rare, par prudence, par confort ou pour des raisons de fiscalité, que le dirigeant évite ou limite au strict minimum la distribution de résultats. Au fil des années, les fonds propres de l’entreprise (capital, réserves, report à nouveau, résultat) grossissent au point parfois de constituer un handicap pour la cession qui prend toujours en compte le niveau des capitaux propres. Dans l’optique de la vente, cette approche doit être changée d’autant plus, comme le précise Alain BAUMANN, que les nouvelles dispositions fiscales dites « flat tax » ne pénalisent plus le versement d’un dividende. Il est conseillé de prendre  l’habitude de distribuer les résultats qui ne sont pas nécessaires au bon fonctionnement de l’entreprise. Une entreprise qui est habituée à distribuer des dividendes est mieux préparée à sa cession qui implique ensuite une ponction significative de la rentabilité pour assumer les échéances de la dette d’acquisition.

Travailler à la régularité et lisibilité des comptes   
Il faut offrir une compréhension simple du bilan, nettoyer et provisionner les comptes qui seront scrutés à la loupe au moment de l’audit d’acquisition, éviter un changement de date de clôture du bilan qui complique l’analyse des données comparatives pour le repreneur et ses partenaires bancaires. Tout ceci doit être effectué le plus en amont possible pour éviter la méfiance des candidats repreneurs. La régularité des résultats est aussi une donnée essentielle. Pour Xavier LENNE, expert-comptable, une entreprise qui affiche des résultats réguliers est dans une situation financière qui est dans la réalité meilleure que celle qui se lit dans son bilan. Un bilan avec des bases saines et récurrentes va naturellement permettre d’accélèrer les négociations et le bouclage financier de l’opération, ce qui est dans l’intérêt du repreneur autant que du vendeur. C’est tout l’inverse quand les comptes sont irréguliers.
Le loyer doit être dans le marché et il ne faut pas l’augmenter

La question de l’immobilier est sensible. Le repreneur va chercher à s’assurer que le loyer payé par l’entreprise à la SCI du dirigeant est bien au prix standard du marché de l’immobilier d’entreprise sur le secteur. Une éventuelle hausse de loyer avant la cession est un point négatif qui donne souvent lieu à un retraitement du résultat, donc à une valorisation revue à la baisse.


Comprendre le No man’s land de la « finançabilité »
Si l’entreprise à céder n’a pas de rentabilité ou si son résultat « retraité » (il faut notamment tenir compte d’une rémunération normale de dirigeant, cad diminuer le résultat si le cédant a déclenché sa retraite et ne se rémunère plus) est simplement à l’équilibre, voire négatif, elle entre dans un No man’s land car son acquisition n’est pas finançable. Les banques raisonnent moins sur le budget prévisionnel du repreneur que sur l’antériorité financière de l’entreprise. S’il n’y a pas de bénéfice, il est peu probable, selon leur expérience, que le repreneur saura faire mieux que le cédant et supporter la charge financière d’un emprunt ou d’une dette senior. Tout cédant doit apprendre à se familiariser avec le schéma financier d’une acquisition d’entreprise, le comprendre et l’accepter. Cet exercice lui permettra d’approcher par lui-même la valeur de marché de son entreprise (la valeur finançable est la valeur de marché) et au final d’améliorer grandement ses chances de réussir à vendre sa société.

Mais il y a beaucoup d’exceptions, chaque opération aura toujours ses propres caractéristiques et aucun scénario n’est écrit d’avance. André SIGONNEY indique à juste titre qu’il y a des repreneurs dotés d’une capacité financière leur permettant d’autofinancer largement l’acquisition d’une entreprise (avec ou sans l’appui de fonds d’investissement – amis et partenaires associés) en recourant à une dette bancaire réduite par rapport au nouveau général accepté par les banques.
Les experts sont aussi tous d’accord pour nuancer l’importance accordée aux aspects financiers, sachant d’expérience que les facteurs psychologiques sont largement dominants dans les facteurs clés de réussite d’une cession d’entreprise.

Jean-Yves LESTRADE, Associé du réseau FRANCESSION

mercredi 2 juin 2021

E-commerce - Jean-Yves LESTRADE (FRANCESSION) accompagne la reprise de BABYLOR

BABYLOR est une enseigne leader dans la vente en e-commerce de sièges auto pour les enfants. Elle offre une gamme complète de grandes marques de qualité comme KLIPPAN, TAKATA, BABY ELEPHANT et bien d’autres. Ergonomique, bien référencé et traduit en 4 langues, le site BABYLOR réalise plus de 50 % de son CA à l’exportation en Europe : Espagne, Suisse, Belgique, Grande-Bretagne… 

BABYLOR est une société créée en 2013 à Metz par Frédéric GOLABECKI, 39 ans, après avoir occupé des postes de direction commerciale dans le secteur des véhicules utilitaires et de la distribution automobile. A l’origine de la création de BABYLOR par Frédéric, il y a un accident de voiture qui aurait pu être fatal à son enfant de 9 mois, indemne grâce à un siège auto de sécurité dos à la route du fabriquant finlandais KLIPPAN.

Le repreneur de BABYLOR

L’acquéreur de l’enseigne BABYLOR est M. Willy MAROLLEAU, dirigeant de 50 FACTORY, leader dans la vente en e-commerce de pièces détachées pour 2 roues (motos, scooters, cyclomoteurs et solex). 

Willy MAROLLEAU va apporter à BABYLOR de nouveaux axes de développement avec le savoir-faire de sa société dans la gestion de sites d’e-commerce, l'expérience de son équipe de développeurs informaticiens et un traitement fluidifié de l’activité BABYLOR dans sa nouvelle plateforme logistique à Cerizay dans les Deux-Sèvres.

Conseils de l’opération

  • Conseil de l’acquéreur :  James AUGEREAU et Carole MARIONNEAU du cabinet IN EXTENSO (La Roche-sur-Yon, 85) 
  • Expert-comptable du cédant : Emmanuel MULLER du cabinet GRANGIER EXPERTISE & ASSOCIES (Metz, 57)
  • Conseil en cession du cédant : Jean-Yves LESTRADE associé de FRANCESSION (Metz, 57)


lundi 3 mai 2021

Réussir à vendre son entreprise en 2021 !

Le nombre de repreneurs d'entreprises est en forte progression. Malgré le contexte de la crise sanitaire, le marché de la transmission d'entreprise s'est globalement maintenu et il va certainement connaître une forte accélération dans les prochains mois avec la reprise post-covid. Plus que jamais pour les cédants, c'est le moment d'agir !  

La vente d'une entreprise se prépare sur beaucoup d'aspects comme un examen. Le cédant devra veiller à :

  • anticiper, préparer son entreprise, traiter les « non-dits »,
  • prendre du recul dans son organisation de travail pour confier davantage de responsabilités aux salariés,
  • mettre à plat tous les paramètres de la négociation : actionnariat maîtrisé, schéma de la cession, diagnostic immobilier, provisions des risques, gestion de la trésorerie, sortie d’actifs, optimisation de la fiscalité… il est très utile de réaliser un diagnostic ou pré-audit de transmission,
  • décortiquer, comprendre et accepter l'équation incontournable de la valorisation cohérente d'une entreprise cad sa valorisation " finançable ",
  • accepter de communiquer des informations sensibles et jouer la transparence avec tous les interlocuteurs,
  • rester très motivé et attentif à la bonne marche de son entreprise et ses paramètres financiers,
  • avoir un calendrier personnel souple pour avancer sans précipitation dans le processus et la négociation, 
  • rester optimiste, serein et convaincant pour donner envie au repreneur ! 
  • se faire accompagner par ses conseils habituels (experts-comptables et avocats) et surtout par un expert aguerri dans la transmission d'entreprise qui sait instaurer un climat agréable de travail et de confiance avec tous ses interlocuteurs. 

Faites nous signe pour un échange confidentiel sur ce sujet. Notre cabinet a plus de dix années d'existence, une réputation de discrétion et sérieux ainsi que de belles références d'opérations réussies. Il participe activement à la dynamique nationale de FRANCESSION (réseau de 15 cabinets de fusions acquisitions) qui a réussi plus de 500 opérations de cessions et acquisitions d'entreprises ces dix dernières années en France. 

Jean-Yves LESTRADE, associé de FRANCESSION  




dimanche 4 avril 2021

Croissance externe : trouver des opportunités pour profiter de la croissance post covid-19

Pratiquement tous les chefs d’entreprises sont intéressés par des opportunités d’acquisitions de sociétés. Les bénéfices sont bien connus : acquisition de nouveaux savoir-faire, diversification de clientèles et de marchés, enrichissement et optimisation des ressources humaines, réalisation de synergies industrielles, commerciales et financières, consolidation de positions de marché,…


Avec la crise sanitaire et l’environnement économique très concurrencé, cette envie de croissance externe s’est encore renforcée. L’enjeu, c’est aussi d’assurer la pérennité de l’entreprise, atténuer les aléas de la conjoncture, renforcer sa notoriété et son image, augmenter sa valeur…


Une des difficultés pour les repreneurs est d’être informé des opportunités d’entreprises à céder. On en parle le moins possible. Les opérations sont instruites dans la confidentialité et la discrétion, c’est l’intérêt mutuel de toutes les parties. L’analyse des facteurs de succès de nos opérations met en lumière l’utilité d’un travail stratégique d’anticipation.

L’acquéreur qui veut reprendre une entreprise s’organise dans cette optique. Il est réactif, il a ses objectifs, il connaît ses capacités financières, il a des cibles prioritaires, il est en veille active et permanente. Il considère que le temps passé à l’étude de projets de reprises est un temps de préparation, un temps d’analyse et d’anticipation nécessaire à sa stratégie globale de développement. Il fait appel aux professionnels spécialisés dans les fusions acquisitions qui mettent en œuvre des actions de prospection et identification d’entreprises à reprendre ou qui l’accompagnent sur une cible préalablement identifiée.

Trouver et analyser les opportunités d'acquisitions pour une décision Go-No Go

On met en œuvre une démarche pro-active, réfléchie, méthodique et persévérante. On a défini le type d’entreprises intéressantes à acquérir, dans quelles activités précises, dans quelles régions, fourchette de CA et situation financière…. Après l’identification de sociétés potentielles à reprendre, cette action vise à connaître les motivations et attentes des cédants pour vendre, cerner les non-dits, établir un dialogue en confiance entre les parties, négocier la clause de prix malmenée par la période covid...

Les premiers signes d’optimiste sont là. Le paysage économique s'éclaircit, la campagne de vaccination est en pleine accélération et va produire ses effets sur tous les secteurs d’activités et doper la consommation. Plus que jamais aujourd’hui, je conseille d’anticiper sur la forte croissance économique que nous connaîtrons, à coup sûr, à la sortie de la crise covid.

C’est notre métier de vous aider à trouver des opportunités et à les analyser sur des critères objectifs pour une décision Go-No Go. Nous serons ravis de vous faire part de notre point de vue et de nos modalités d’intervention pour atteindre ensemble vos objectifs dans les meilleures conditions possibles !

Jean-Yves Lestrade, associé de FRANCESSION

lundi 1 mars 2021

Vous voulez vendre votre entreprise : les dix pièges à éviter !

La démarche de transmission est jalonnée d’obstacles et le cédant doit intégrer beaucoup de paramètres pour réussir à vendre son entreprise. Conseils et observations sur les pièges et les erreurs à éviter !    

Ne rien faire ou attendre que cela se passe tout seul 
C’est le cas de beaucoup de cédants qui doivent déjà mobiliser toute leur énergie au quotidien pour faire tourner leur entreprise. La question de la transmission est sans arrêt remise à plus tard avec l’espoir d’une solution miracle qui se fasse tout seul. Souvent plus les cédants avancent dans l'âge, plus la transmission se complique car l'écart se creuse entre leurs valeurs et attentes et celles des repreneurs d'aujourd'hui.




Croire que cela ne marchera jamais
Aucune entreprise n’est impossible à vendre. Tout dépend de ses caractéristiques, des conditions de vente, du calendrier, des caractéristiques de l'entreprise et de son évolution... Le meilleur moyen pour réussir à vendre une entreprise (ou améliorer fortement la probabilité de vente) est de se faire aider par un professionnel qui va " marketer " l'entreprise dans le cadre d'une démarche réfléchie, volontariste et persévérante. Sans cela, on avance pas et on perd un temps précieux.

Considérer que la cession est un sujet tabou
Le cédant doit savoir se confier à ses interlocuteurs et à des conseils de confiance. Il arrive qu'il y ait des fuites, mais il est rare qu'elles aient un effet vraiment négatif. On vit à une époque où toutes les entreprises sont potentiellement à vendre. De toute façon, à un moment donné, il faut bien pouvoir préparer les esprits pour s’assurer des conditions de la réussite de l’opération.

Refuser de donner des informations
Souvent, si le dirigeant refuse de donner de l’information sur son entreprise à un repreneur sérieux, c’est qu’il n’est mûr pour passer la main. Le cédant doit accepter de se découvrir. Il se rend rapidement compte de l’utilité de disposer d’une note de présentation de son entreprise qui est considérée comme un gage de sérieux.

Ne plus se rémunérer
A un moment donné, le chef d'entreprise doit déclencher sa retraite. Il poursuit alors son activité avec un coût pour son entreprise beaucoup plus faible qui se limite au remboursement de ses frais professionnels. Souvent cette situation constitue un obstacle majeur pour les repreneurs car le retraitement des dépenses tenant compte d'une rémunération normale de dirigeant conduit à une rentabilité négative et l'entreprise est céder n'est plus finançable pour une acquisition.

Ne pas être réactif et disponible
Vous ne devez pas annuler ou différer les rendez-vous avec les repreneurs potentiels et vous vous organisez en conséquence. La transmission est votre priorité. A l’heure du smartphone et de la culture de " l'immédiateté ", le manque de réactivité ou de disponibilité du cédant condamne tous les acquis.

Sous-estimer la problématique du financement de l'opération pour le repreneur et ses partenaires financiers
Vous êtes capable de vous mettre à la place de l’acquéreur qui achète l’avenir et non pas le passé de votre entreprise. Vous comprenez la difficulté du financement de l’opération pour le repreneur. Si vous étiez à sa place, seriez-vous capable aujourd'hui de financer l'achat de votre entreprise en vous projetant dans l'avenir avec le handicap d'une dette d'acquisition ?

Ne pas jouer la transparence ou dissimuler des informations 
Vous savez aussi bien présenter les atouts que les points de fragilité de votre entreprise. Il ne faut surtout pas éviter les sujets qui vous gênent : baisse d’activité et de marge, départ de salariés, déficit, niveau des provisions, contentieux et risques en cours et prud'homaux… Ces questions doivent être traitées dans la transparence. Vos explications mettront le repreneur en confiance et lui donneront de la visibilité pour hiérarchiser ses risques et construire un projet de reprise cohérent.

Comparer votre parcours à celui du repreneur
L’important est de trouver un repreneur capable de financer l’acquisition de votre société et qui ait les qualités nécessaires pour pérenniser et développer votre entreprise. Le repreneur n’est pas votre fils spirituel. Il a souvent un parcours professionnel et une culture différente de la vôtre, ce que vous devez accepter.


Faire une fixation sur un seuil de valorisation
Ne vous bloquez pas sur un seuil de valorisation psychologique de votre entreprise. C'est le meilleur moyen d'échouer. La valeur d'une entreprise dépend de beaucoup de paramètres. Elle peut fluctuer au fur et à mesure de la négociation, selon l'évolution du marché, de la situation financière de l'entreprise à vendre, des investissements à réaliser, du carnet de commandes... Ce qui importe, ce n'est pas la valeur théorique de votre entreprise, mais sa valeur finançable et celle qui résulte d'une offre crédible, écrite et financée. Il peur y avoir un prix à définir après l'audit d'acquisition, un prix révisable, un prix avec clause d'earn out (prix dépendants des résultats futurs de l'entreprise)... L'avis des banques est essentiel. Si le résultat normatif est simplement à l'équilibre ou s'il est négatif, l'entreprise entre dans un " No man's land " délicat car elle n'est pas finançable pour une cession.

Ne pas faire confiance aux conseils et croire que la cession peut ne rien coûter
Les conseils (experts-comptables, avocats, conseils juridiques, notaires, chargés d'affaires des banques d'entreprises, experts en fusions acquisitions…) apportent une forte valeur ajoutée pour baliser les démarches, surmonter les turbulences inhérentes à la négociation, préserver la relation entre le cédant et le repreneur et tout mettre en œuvre pour le succès de l’opération. Leur travail ne peut pas être gratuit. Sachez que les cabinets de fusions acquisitions d’entreprises se rémunèrent principalement sous la forme d’une commission de succès.

Jean-Yves LESTRADE, Associé de FRANCESSION (réseau de 16 cabinets de fusions acquisitions)  Tél : 06 08 31 68 86

jeudi 25 février 2021

FRANCESSION : 30 opérations réussies en 2020

L'activité de FRANCESSION a progressé de 30 % en 2020 avec 30 opérations concrétisées avec succès en France, parmi lesquelles : 

  • cession de la société CREONS VERT (Pas-de-Calais), entreprise d’entretien d’espaces verts
  • acquisition de la société DESORMIERE TRANSPORTS (Loire), entreprise de transport d’aliments de bétail par le groupe CAYON
  • cession de la société MODE CREATION (Vendée), bureau d’étude spécialisé dans le prêt-à-porter féminin de luxe, au groupe A&B COUTURE
  • acquisition de la société K’NOE (Val-de-Marne), agence de publicité par le groupe GET
  • cession de la société LOMA (Cantal), hypermarché, au groupe CARREFOUR
  • cession de la société HENON FILS (Ardennes), entreprise d’usinage et mécano-soudure reprise par M. Rabah Djatit
  • cession de la société VALCOPLAST (Pyrénées Atlantiques), entreprise d’injection plastique
  • acquisition des SELARL PHARMACIE DES VIGNES et PHARMACIE SALABERT (Hérault), pharmacies
  • cession de la société ITSI (Luxembourg), entreprise spécialisée dans les logiciels d’accès sécurisé aux bâtiments
  • cession de la société GRELIER (Loire Atlantique), entreprise de menuiserie métallique, serrurerie et ferronnerie
  • cession de la société ATELIERS FL (Allier), entreprise de charpente métallique, bardage, couverture
  • cession de la société MENUISERIE JOFFROY (Moselle), entreprise de menuiserie aluminium et PVC reprise par M. Arnaud Jaubert
  • cession de la société LA VIE EN BIEAU (Var), supermarché bio
  • cession de la société CEPI EXTINCTOR (Allier), entreprise de matériel de protection incendie 
  • cession de la société MANUT 51 (Marne), entreprise de vente et réparation de chariots élévateurs
  • cession de la société VALREAS AUTOMOBILE (Hérault), garage automobile, à un repreneur personne physique
  • cession de la société BJ INDUSTRIES (Ardennes), entreprise de réalisation d’unités industrielles de récupération et recyclage de batteries au plomb
  • cession de participation minoritaire dans la société BECLOOD (Hérault), agence marketing digital
  • acquisition de deux sociétés (Aude, Hérault), pompes funèbres par le groupe PECH BLEU SEM PFO
  • cession des activités de formation et de certification pour les contrôles et essais non destructifs d’un centre de formation (Nord) à un groupe côté
  • levée de fonds pour une société de désamiantage dans la région Centre
  • cession d’un bureau d’étude spécialisé dans la fibre optique dans la Région Pays de Loire
  • cession (en partage avec un autre cabinet) d’une société spécialisée dans le négoce d’épices et produits de charcuterie dans l'Ouest 
  • cession d’une entreprise de courtage de transports dans la Sarthe
  • cession d’un centre de formation par alternance multi-sites dans la région Pays de Loire

3 opérations signées en décembre 2020 ne peuvent pas encore être évoquées dans le listing ; la discrétion, la confidentialité, le respect d’une déontologie stricte sont les ingrédients de base de la conduite et de l’efficacité des interventions des Experts de FRANCESSION.


FRANCESSION poursuit activement son développement : 5 nouveaux Associés       

L’année dernière, FRANCESSION a enrichi son réseau national avec l’intégration de 3 nouveaux cabinets de fusions-acquisitions : Cabinet ETEF CONSULTING de Jean-Jacques PIERRE à Vannes (Morbihan), Cabinet Louis THIVAT à Saint-Bonnet-de-Rochefort (Allier) et Cabinet J.P. CONSEIL de Jean PIEDALLU à Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées Atlantiques).


En cette année 2021, FRANCESSION accueille deux nouveaux Associés de cabinets bien ancrés sur leur territoire : David RAGE (photo de gauche), dirigeant du Cabinet FUSAX PARTNERS à Clermont-Ferrand et Laury KOSCIELNIAK (photo de droite), dirigeant d’EXAKT CONSEIL à Niort, cabinet de référence sur la façade atlantique dans les transactions de fonds de commerce, campings et hôtels. 

Confiance pour l’activité en 2021                                                          

Les Associés de FRANCESSION sont confiants pour l'année 2021. Malgré le contexte covid-19, de nouvelles missions ont été engagées avec de bonnes perspectives de réussites. Il y a plus d’une centaine de mandats en portefeuille, à 80 % en mandats de cession d’entreprise et 20 % en mandats d’acquisition d’entreprise. Les cabinets du réseau ont également plusieurs mandats de levée de fonds

FRANCESSION est ravi et fier d’être utile à la transmission d’entreprises et à la pérennité du tissu économique dans toutes les régions de notre pays.  

Alain BAUMANN, Président du réseau FRANCESSION





vendredi 22 janvier 2021

La société ardennaise BJ INDUSTRIES reprise M. Ulrich AUMÜLLER

Jean-Yves LESTRADE (FRANCESSION Grand-Est) a accompagné avec succès, aux côtés des banques, conseils juridiques et experts-comptables du cédant et du repreneur, la cession de la société BJ INDUSTRIES à Tournes. Cette entreprise est spécialisée dans la conception et la réalisation d’unités industrielles de récupération et recyclage de batteries au plomb. Elle exporte 90 % de ses installations sur tous les continents. 

De gauche à droite : Paul JONET et Ulrich AUMÜLLER, installations réalisées par BJ INDUSTRIES à Bou Argoub (Tunisie), siège de BJ INDUSTRIES à Tournes (Ardennes)

BJ INDUSTRIES est une société dirigée depuis plus de 30 ans par M. Paul JONET, ingénieur en électromécanique. M. JONET l’a créée en 1987 avec l’appui de la famille BOURSON contrôlant parallèlement la société de recyclage de métaux non ferreux METAL BLANC.

Le repreneur

Le repreneur de la société BJ INDUSTRIES est M. Ulrich AUMÜLLER, ingénieur trilingue de nationalité allemande. M. AUMÜLLER a un parcours riche de dirigeant opérationnel dans des sociétés d’un groupe mondial franco-suisse. 

C’est un homme de réseaux qui a enrichi son expérience pour la reprise d’entreprise au CRA et qui est soutenu activement par les Experts du RESEAU ENTREPRENDRE, INITIATIVES ARDENNES et CCI des Ardennes. Ulrich, qui a réussi à boucler cette opération dans le contexte covid-19, va offrir, avec le soutien de l’équipe en place, de nouvelles perspectives de développement à BJ INDUSTRIES et la pérennité d’une entreprise familiale des Ardennes leader dans ses métiers.

Conseils Acquéreur 

  • Conseil juridique : Laurent FILLUZEAU de CONSEILS REUNIS à Paris
  • Expert-comptable : Jean-Marc FLEURY de Groupe CONSEIL UNION à Paris
  • Banques participant au financement : CAISSE D’EPARGNE, BANQUE KOLB, BANQUE POPULAIRE DU NORD, BPI

Conseils Cédant

  • Conseil juridique : Didier LOISEAU du cabinet BLACKBIRD ASSOCIES à Paris
  • Expert-comptable : Damien LUKAS du cabinet BONDUELLE & ASSOCIES à Charleville-Mézières
  • Conseil en cession : Jean-Yves LESTRADE associé de FRANCESSION Grand-Est à Metz

Jean-Yves LESTRADE, 06 08 31 68 86